La chroniqueuse Lise Ravary revient sur la nouvelle définition de “prisonnier politique” de Radio-Canada et les dérapages continus notre service public d’information dans son traitement d’Israël et du conflit avec les Palestiniens:
Si Radio-Canada proposait une couverture ouvertement pro Israël du conflit tragique avec les Palestiniens, cela serait tout aussi exécrable. Mais ça n’arrivera jamais. Les erreurs se font toujours dans le même sens à Radio-Canada.
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Mais en validant l’expression ‘prisonnier politique’ pour décrire des terroristes emprisonnés après avoir été jugés de manière juste et impartiale dans un état de droit, Radio-Canada dépasse les bornes.
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Non seulement, des journalistes se donnent le droit de tripoter les faits dans la foulée de l’idéologie anti-Israël à la mode au Québec, mais en 2013, Radio-Canada se permet aussi de réécrire le droit international avec une définition farfelue et surtout dangereuse de ‘prisonnier politique.’
Lire le texte intégral de sa chronique sur le site du Journal de Montréal
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