
“J’estime donc qu’on peut raisonnablement employer le vocable « prisonnier politique » pour décrire des détenus qui ont commis ou planifié des actes violents à des fins politiques”.
– Ombudsman des services français, Radio-Canada, 30 avril 2013
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Mr Quellette
Ce sont tres graves comme insignuation..ces paroles sont ignoble de la part de cette societe d’etat que l’on puisse dire cela…Que peut t-on faire de plus??j’ai ecris aux depute federale …Mais est ce qu’on peut ecrire aux Ca de radio canada pour leur dire les gravite de ce message..Ces terroriste ne sont pas de prisonniers politiques
Merci
DEFINITION DU PRISONNIER POLITIQUE
EN DROIT INTERNATIONAL
• 5 critères objectifs ont été définis et adoptés par toutes les instances du Conseil de l’Europe :
1) Détention imposée en violation des Libertés Fondamentales (pensée, conscience, expression, association).
2) Détention pour des raisons politiques sans rapport avec une infraction.
3) Disproportion pour des raisons politiques entre la durée ou les conditions de détention et la gravité de l’infraction.
4) Discrimination d’une personne par rapport à d’autres pour des raisons politiques.
5) Irrégularité de la procédure de jugement pour des raisons politiques.
Pour être prisonnier politique le prisonnier doit remplir au moins l’un des 5 critères définis officiellement.
Les prisonniers Tibétains remplissent le plus souvent ces 5 critères de manière cumulative.
1- L’ex-felquiste Paul Rose n’était pas un terroriste à un moment de sa vie terrestre,
2- La terre est plate,
3- 8 des des onzes membres du CA de Radio-Canada ont contribuer au Parti Conservateur du Canada. (http://www.friends.ca/press-release/11380)
J’apprécie la troisième déclaration pour mieux apprécier le reste des deux autres….
…..
Jason
Alors les gens de guatenamo , le shiek mohamed, ahmed rassan , Tous cela devrais t-on les appeles des prisonniers Politiques…..C’est une absurdite.
Désolé, c’est hors sujet, mais je ne sais pas où annoncer cette information qu’on n’entendra peut-être nulle part au Québec, même si elle implique “un gars bien de chez nous” :
L’équipe nationale de hockey israélienne a remporté l’or au championnat mondial de hockey de la IIHF (International Ice Hockey Federation), avec à sa tête l’entraineur en chef Jean Perron.
Voici quelques extraits de l’article que vous pouvez consulter ici :
Félicitations à l’équipe nationale de hockey israélienne et à son coach Jean Perron !
On peut dire “qu’ils peuvent se contenter chanceux” de l’avoir comme coach. C’est pour ça “qu’ils lui ont déroulé un plateau d’argent”. 🙂
Radio Canada doit suivre le courant de la télévision Française anti Israélienne.
Radio Canada ne se base que sur les sources arabes palestiniennes,et ne cherche pas a savoir la vérité comme toute radio gauchiste.
On lui apprend la vérité quand on conteste les mensonges qu’ils rapportent.